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mercredi 29 juin 2016

Cliché énergétique du 28 juin 2016



Les énergies du récent solstice ont ramené un meilleur équilibre chez certains, mais plus d’un, bien au contraire, l’ont perdu momentanément. 

En effet, au moment où il convenait plus que jamais de se centrer sur le renforcement de la résonance du Monde nouveau, ils ont été happés et, distraits, ils ont replongé de plus belle dans la dualité. 

Ils se sont retrouvé comme des canards qui, par inadvertance, auraient plongé dans une grande mare d’huile, réussissant difficilement à se désengluer de cette poisse. 

Alors, vous pouvez imaginer sur quoi ils portaient d’abord leur attention, la transcendance leur devenant bien difficile. 

Dans un profond vague à l’âme, ils se sont mis à douter de leur dignité, du degré de leur avancement, de leur possibilités de succès, de leur aptitude à s’accomplir, ils se sont même demandé s’ils ne s’étaient pas trompés de Voie et s’ils n’avaient pas erré toute leur vie, donc œuvré pour rien.

Oh! si vous faites partie de ce dernier groupe, évitez de vous affoler, parce que vous vous croyez une exception ou hors d’ordre, car votre messager lui-même, lui qui s’est toujours démontré si serein tout au long des ans, couve une tristesse et un désarroi à faire fuir tout être qui l’entoure, une peine qui semble ne pouvoir cesser de s’amplifier, ce qui voile d’autant notre communication avec lui, sans parvenir à la bloquer.

Dans ces circonstances, si vous ne vous sentez pas trop concerné, vous pouvez prendre ce qui suit avec un grain de sel : ainsi, n’hésitez pas à faire preuve de compréhension, mais à bien recourir à votre discernement, dans l’interprétation des propos que nous tentons de lui faire tenir.

Mais, pour juger de vos semblables, ne retenez que le fait que, après des mois, même des années de dur labeur spirituel, confinés à l’épuisement, dans leur tentative de passer d’un plan de conscience à un autre, il est probablement compréhensible que certains puissent avoir sombré dans une certaine dépression, surtout s’ils ont tout perdu, s’ils ont vécu dans une solitude prolongée ou s’ils ont développé une maladie grave dans leur physique.

À lire sur : http://www.arcturius.org/chroniques/comme-jonathan-le-goeland-ou-retrouver-la-transcendance/

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