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vendredi 8 février 2013

Un rêve

Voici un des textes concernant OPPT, en provenance du site d'American Kabuki :  http://americankabuki.blogspot.ca/2013/02/chained-to-wall.html





Enchaîné au mur
Ce n’est pas comme si nous n’avions pas été avertis. La Caverne de Platon nous raconte l’histoire. Bill Hicks en a parlé. George Carlin a fait des blagues à ce sujet. David Icke nous averti encore. Il y a cinq ans, Dream Hopper a eu le rêve suivant, qui est un présage de ce qui se passe aujourd’hui.
Il vivait dans un endroit où tout lui était disponible. La vie était passablement simple. Il n’y avait pas grand-chose à faire et ce n’était ni trop douloureux, ni trop difficile. Cependant, tout le monde était enchaîné. Ces chaînes étaient très longues. Les gens pouvaient bouger assez librement et faire ce qu’ils voulaient. Les gens choisissaient à quel endroit leurs chaînes étaient attachées : à la cheville, au poignet, à la taille, au cou. Ces chaînes n’étaient pas verrouillées. Mais tout le monde les portait.
De temps en temps, il arrivait à l’idée de quelqu’un « qu’il doit y avoir quelque chose de mieux à faire ». Il décrochait sa chaîne et sortait par la porte. Cela s’est passé pendant quelque temps et il y avait des histoires qui se contaient, concernant les résultats d’une telle action. Sortir par la porte était risqué et finissait toujours en quelque sorte de destruction pour celui qui l’avait fait.
Quelques fois, les gens ne revenaient pas. Ceux qui revenaient racontaient des histoires horribles, incluant le fait de perdre des tonnes d’argent, de tomber à l’extérieur de la grille, d’être incapable de faire avancer les choses et d’être physiquement, mentalement, émotionnellement et spirituellement épuisé. Ils étaient incapables de réessayer. Ils croyaient que ceux qui n’étaient jamais revenus avaient rencontré une fin prématurée.
DH a enlevé sa chaîne et est sorti par la porte. Il a lutté et s’est retrouvé sans argent et hors du temps. Il a noté que, pendant qu’il vivait cela, il voyait ceux qui n’étaient pas revenus et ils n’étaient pas morts. Ils semblaient avoir compris. Ils allaient bien.
Lui, par contre n’allait pas bien. Il ne pouvait comprendre. Il est donc retourné et a rattaché sa chaîne. Il a cédé à son désir profond de rendre les choses faciles.
Le temps passait. Il s’est fatigué de sa chaîne. Il est sorti par la porte, mais cette fois, avec une nouvelle stratégie. Il a décidé de connaître ceux qui avaient réussi. Ils pourraient lui enseigner. Il a remarqué ce qu’ils faisaient. Ils ne faisaient pas affaire avec les «  propriétaires de la pièce » où il était enchaîné. Ils ne négociaient pas du tout avec eux. La seule façon de ne pas faire partie de ce système c’était de, tout simplement, ne pas faire partie de ce système.
Il a essayé leur façon de faire. Il ne faisait affaire et ne négociait qu’avec les gens qui avaient réussi et non pas avec ceux qui étaient « en charge de la pièce ». Une fois qu’il a commencé à faire cela, il a aussi commencé à connaître du succès. Cela n’a pas été instantané mais cela a fonctionné.
Excité par sa découverte, il a couru vers la pièce, a ouvert la porte et a dit : «  Vous n’avez pas à être ici! Il y a une autre façon de faire ! Venez ! »
Personne n’a bougé.
Il répéta ses paroles.
Presque personne n’a répondu.
Alors, il est parti. Il s’est éveillé avant d’entendre la fin de l’histoire.
Nous sommes en territoire nouveau. Nos chaînes ont été enlevées par les soumissions d’UCC du One People’s Public Trust. Il en revient à nous maintenant d’ÊTRE. Être libre. Cela nécessitera de la bravoure, de la ténacité et de la confiance. Nous mettons au défi tout ce que nous avons pu connaître. Il en revient à nous de sortir par la porte et ensuite de revenir pour en parler aux autres.
Personne ne nous ouvrira la porte et personne ne nous séparera de nos chaînes. Nous devons le faire nous-mêmes, chacun de nous, de notre propre façon. La liberté n’est pas quelque chose qui vous est accordé, c’est quelque chose que vous prenez. C’est quelque chose que vous savez. C’est la vérité.
La liberté, c’est ce que vous êtes. L’Amour, c’est ce que vous êtes. Comprenez la vérité de ce qui est arrivé avec le One People’s Public Trust et ensuite, allez le dire aux autres. C’est pour cette raison que vous êtes ici et c’est le moment. Nous sommes ceux que nous attendions.
-          Sophia -



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