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mardi 20 novembre 2012

Natural Society, 7 août 2012, mis à jour

Natural Society, 7 août 2012, mis à jour

Une équipe de scientifiques cherchant la raison de la résistance des cellules cancéreuses est tombée par hasard sur une bien plus importante découverte. Pendant leur recherche, l'équipe a découvert que la chimiothérapie endommage en fait gravement les cellules saines et les oblige par conséquent à libérer une protéine qui encourage et alimente la croissance de la tumeur. De plus, elle rend même la tumeur fortement résistante à un futur traitement.

En publiant leurs découvertes dans le journal Nature Medicine, les scientifiques disent que la découverte était ''complètement fortuite''. En trouvant la preuve d'une atteinte manifeste de l'ADN en examinant les effets de la chimiothérapie sur un tissu dérivé chez un homme souffrant d'un cancer de la prostate, cette publication est une grande claque pour les organisations médicales dominantes qui ont fait pendant des années une promotion de la chimiothérapie comme unique option de traitement des cancers.


L'information vient après une recherche précédente aussi dérangeante déclarant que les coûteux produits anti-cancéreux non seulement n'ont aucun résultat dans le traitement des tumeurs, mais en fait les aggravent. On a découvert que les produits fabriqueraient des métastases et feraient grossir les tumeurs après leur consommation. Le résultat est que les médicaments ont tué plus rapidement des patients.

Connue sous le nom de WNT16B, les scientifiques qui ont mené la recherche disent que cette protéine créée par un traitement de chimiothérapie stimule la survie des cellules cancéreuses et qu'elle est responsable en fait de la fin de vie rapide après chimiothérapie. Un des co-auteurs de l'étude du centre de recherche sur le cancer de Seattle explique :
''WNT16B, quand elle sécrétée, interfèrerait avec les cellules de la tumeur voisine et les ferait grossir, devenir invasives et résister de manière importante à une thérapie ultérieure.''
L'équipe a ensuite complété son exposé par une affirmation personnelle :
''Nos résultats indiquent que les atteintes de cellules bénignes en réponse ...peuvent directement contribuer à majorer le rythme de croissance de la tumeur.''

Par ailleurs des substances très bon marché comme le curcuma et le gingembre ont montré à maintes reprises qu'elles réduisaient les tumeurs et combattaient la propagation du cancer. La mise en commun de 11 études ont montré que l'usage du curcuma réduisait la taille d'une tumeur du cerveau de 81 %. Une recherche ultérieure a aussi démontré que le curcuma est capable de stopper toute croissance de la cellule cancéreuse. Une femme a récemment fait la une de gros titres en révélant sa victoire contre le cancer par la consommation principale d'une épice qui est le curcuma.

Cette découverte accidentelle faite par des scientifiques montre de plus le manque de vraie science derrière de nombreux traitements du vieux paradigme, malgré ce que de nombreux responsables de santé aimeraient vous faire croire. La vérité dans cette affaire est que des alternatives naturelles ne reçoivent pas et de loin le même financement que les médicaments pharmaceutiques et les interventions médicales parce qu'il n'y a pas de place au profit. Si tout le monde consommait du curcuma et de la vitamine D pour le cancer (encore mieux en préventif), les grandes sociétés pharmaceutiques fermeraient boutique.

Source originale: http://naturalsociety.com/
Traduit par Hélios

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