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dimanche 30 septembre 2012

En vérité, il n’y a rien à juger

Source : http://www.anneduquesne.com/article-en-verite-il-n-y-a-rien-a-juger-110702720.html

Jésus, transmis par John Smallman
La rivière du temps — cet aspect de l’illusion dont beaucoup d’entre vous sont le plus conscients — s’écoule rapidement et sans à-coups et vous emmène avec elle avec insistance et d’un pas assuré vers votre destination divine. En dépit de tous les doutes et de toutes les incertitudes que vous puissiez entretenir votre arrivée est garantie, divinement garantie. Lorsque des doutes ou des inquiétudes surgissent en vous, concentrez-vous sur la certitude absolue de cette promesse, sachant, comme vous le faites très certainement, que l'Amour de votre Père pour vous vous attire irrésistiblement vers la maison.
Vous avez un dicton : « Là où est votre maison là est votre cœur ». Et le cœur de votre Soi véritable est éternellement chez lui avec votre Père céleste. Néanmoins, il ne semble pas que ça soit le cas lorsque vous luttez avec les problèmes et les angoisses sous lesquels l’illusion se présente continuellement à vous, tandis que vous vous efforcez avec détermination de trouver un moyen d’en sortir pour revenir à cet état glorieux.
Au moment où un nombre toujours croissant d’entre vous décide qu’ils en ont assez de cette folle souffrance et se décident à y mettre un terme, votre effort devient plus diligent et plus efficace. Et parce que c’est votre intention spirituelle et que vous êtes divinement assistés, rien ne peut empêcher votre réveil de se produire exactement comme c’est divinement prévu.
Tout ce que vous avez à faire est de maintenir votre attention sur votre intention de vous réveiller, et de franchir les étapes personnelles essentielles qui vont avec cette intention en libérant votre esprit de toutes les pensées et de toutes les idées irréelles. Seul l’Amour est réel. Il est donc très facile pour vous d’identifier ce que vous avez besoin de libérer, et vous recevez une aide abondante de ceux des royaumes spirituels pour faire de cette libération un jeu d'enfant.
Vous pouvez parfois avoir le sentiment que certaines offenses sont impardonnables, en particulier si l’auteur prétend soit qu’il était dans son droit, soit que les faits ne se sont pas produits. Souvenez-vous cependant que vous êtes tous des miroirs les uns des autres, et que ce qui vous déplaît le plus chez les autres ou ce avec quoi vous n’êtes pas d’accord, est souvent quelque chose que vous devez résoudre en vous-mêmes.
Commencez donc par examiner en toute honnêteté toutes les attaques que vous avez initiées ; souvenez-vous des circonstances, et déterminez si vous sentez encore que vous devriez y répondre de la même manière et avec la même intensité. Peut-être que maintenant, bien après l'événement, vous préféreriez oublier qu'il est jamais arrivé ? Si vous avez récemment réussi à vous sevrer d’une habitude que vous n'aimiez pas ou dont vous étiez devenus honteux, rendez-vous compte aussi que l'observer chez les autres vous agace encore et que vous vous retrouvez peut-être avec un intense besoin de faire du prosélytisme et de leur inculquer vos propres croyances. Alors, rappelez-vous l’amertume ressentie quand d'autres ont essayé ces méthodes sur vous !
Il s’agit véritablement d’être conscients de votre humanité et des défauts qui vont avec cet état. « L’échec est humain » est un cliché bien connu, mais il est maintenant temps d'apprendre que le seul moyen de sortir de ce cercle d'échec est le pardon.
Tout d’abord, comprenez que vous vous êtes mal conduits et respectez les raisons que vous vous donniez d’agir ainsi : les circonstances atténuantes telles que vous les avez vues à l’époque. En suite, à la lumière de votre nouvelle compréhension, pardonnez-vous d’avoir réagi trop rapidement sur le champ, comme le font beaucoup de gens, au lieu de répondre après mûre réflexion. Admettez que vous, comme les autres, n’êtes pas parfaits et ne pouvez jamais l’être en étant incarnés au cœur de l’illusion mais que, néanmoins, ce n’est jamais votre intention de réagir en attaquant ou en offensant les autres. Utilisez cette soi-conscience pour vous démontrer que vous faites des progrès parce que vos intentions sont bonnes, même si vous ne parvenez pas toujours à les poursuivre jusqu’à leur conclusion. Pardonnez-vous, faites des excuses si c’est nécessaire et si c’est possible et puis avancez sans vous appesantir sur ce qui a pu être. Ce qui est fait est fait, et vous avez appris une précieuse leçon.
Une fois que vous avez commencé à vous voir sous ce jour, il devient plus facile de pardonner aux autres leurs erreurs. Après avoir commencé sur cette voie vous allez vous retrouver en train de vous demander pourquoi quelqu’un se conduit mal, et d’admettre que c’est un appel à l’amour auquel vous pouvez alors répondre de manière appropriée, au lieu de réagir avec colère à sa mauvaise conduite. Votre nouveau comportement va vous apporter beaucoup plus de paix que l’ancien, et votre niveau de stress va diminuer. Être quelqu’un d’aimant est bon pour vous et pour votre santé !
Et chaque fois que vous douterez de votre valeur pour la société, pour le monde, ou pour Dieu, rappelez-vous avec fermeté que vous êtes des êtres divins qu’Il a créés parfaits, et que vos expériences du contraire, si réelles et si douloureuses qu’elles peuvent sembler, sont totalement illusoires et qu’elles auront disparu quand vous vous réveillerez. En tant qu’enfants bien-aimés de Dieu votre valeur est infinie parce que l’Amour est votre essence éternelle et immuable. Détendez-vous dans la connaissance de cette divine vérité que vous pouvez trouver à l’intérieur de vous quand vous lâchez les jugements parce que, en Vérité, il n’y a rien à juger.
Votre frère qui vous aime, Jésus.
Traduction AD
Page d’origine : http://johnsmallman2.wordpress.com/2012/09/30/in-truth-there-is-nothing-to-judge/

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